À propos
C’est ici que vous trouverez les réponses à toutes vos questions : qu’est-ce que c’est qu’Un Jour En Plus, pourquoi c’est intéressant, qui nous sommes et pourquoi j’écris parfois “nous” alors que je fais ça solo !
Qu'est-ce qu'Un Jour En Plus ?
Un Jour En Plus est une revue de presse internationale hebdomadaire unique en son genre.
Elle est envoyée chaque samedi entre 17H00 et 18H00.
Unique en son genre, rien que ça ?
Oui, parce que les news que l'on y trouve sont passées sous les radars des médias francophones (je dirais bien 9 fois sur 10). Aussi parce qu'elles sont relayées avec une subjectivité assumée. Un regard qui m'est propre, et donc un ton, affuté au fil de mes 25 ans d'expérience dans la presse papie et en ligne.
Je reçois régulièrement des témoignages de lecteurs et lectrices qui affirment réellement rire en me lisant —et non pas simplement souffler du nez. C'est dire.
Quel genre d'infos je trouverai ?
Des news de partout : de tous les continents et de tous les pays, grâce au travail formidable qu'effectuent au quotidien les journalistes du monde entier. Des nouvelles qui touchent à tous les domaines : culture, business, société, politique, environnement, science, et toute cette sorte de choses. Des bonnes, des mauvaises. Des inquiétantes et d'autres plus rassurantes. Celles qui m'attirent l'œil, m'amusent ou m'intéressent et dont je crois qu'elles n'intéresseront pas que moi.
J’aime par-dessus tout montrer comment, chaque jour, l’avenir se fait et se défait, combien la planète est étonnante et les cultures fascinantes. Et m’amuser d’à quel point, au milieu de tout ça, l’humain est prêt à tout pour rester lui-même.
C'est fiable ?
Purée oui parce que, franchement, je fais tout pour. Je me repose dans cet objectif sur plusieurs pratiques :
D'abord, la revue de presse est exclusivement faite à partir de médias dont l'autorité et le sérieux sont reconnus par leurs pairs et ont été confirmés au fil du temps.
Ensuite, je vérifie et je creuse chaque info, notamment —mais pas exclusivement— par les articles, vidéos ou podcasts que lui consacrent les autres médias, confrères et consœurs d'horizons et obédiences divers. Mais aussi, bien sûr, en remontant à la source de telle ou telle donnée, en examinant son traitement, en conservant mon esprit critique au fil du processus, et par tout un tas d'astuces dans le genre, héritées de mes années de métier.
Enfin, j'ai le lien généreux : l'article d'origine du média est systématiquement signalé bien entendu, mais il n'est pas le seul : au maximum, je précise les contextes, je développe, je mets en garde et je donne les liens des nombreuses autres pages qui peuvent aider la lectrice ou le lecteur à se forger son opinion, sa propre appréciation des termes employés ou des faits relayés.
T’es qui ?
Moi c’est Lucie. Enchantée.
Formée à l'université de Lettres Modernes Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, j'ai à 22 ans quitté ma province bien décidée à empoigner la vie. Disons que celle-ci ne m'a pas exactement déçue. Si je n'ai trouvé ni argent ni renommée, j'ai réalisé quelques rêves, fait des rencontres extraordinaires, vécu des jours et des aventures qui paraîtraient invraisemblables en fiction, j'ai connu, l'amour, le bonheur, le chagrin, le désespoir, l'art et l'amitié.
J’ai aussi connu de très près la vie des rédactions et le métier de journaliste. En l’effectuant moi-même, plus de deux décennies durant, parfois en indépendante, parfois intégrée à un titre. En étant à ma manière une droguée de la presse, papier ou web. En apprenant mon métier auprès de grands journalistes de l’écrit, de la radio et même de la télévision. Et en constatant, trop souvent à mon goût, le fossé qui sépare leurs exigences et les projets de leur hiérarchie… Tout comme celui qui éloigne toujours plus les projets des groupes de presse des aspirations du lectorat.
J'écris désormais cette newsletter en m'amusant. En me cassant la tête aussi parfois, mais toujours à ma manière, toujours comme j'aime, en général sur ce qu'il faut : sur le style, la recherche et la découverte. Je ne demande pas grand chose de plus, si ce n'est pouvoir profiter du spectacle encore de longues années. C’est déjà beaucoup.
J’ai beau te googler, je ne trouve rien
C’est normal ! Lucie Moira est un pseudonyme. J’y ai recours parce que, question de culture ou de génération, j’ai vraiment beaucoup de mal avec la personnalisation à tous crins. C’est ma façon à moi de pratiquer l’Internet comme je l’ai appris, à l’époque de la collaboration, de l’open-tout et des rêves d’horizontalité. Je sais qu’agir ainsi c’est un peu se tirer une balle dans le pied, à l’ère des réseaux sociaux et de l’intelligence artificielle (dont mes productions sont garanties intégralement dépourvues, au passage), mais c’est plus fort que moi.
En plus, je ne me sens pas seule. Alors, certes, je travaille en solo. Mais tout de même. En dehors du travail des autres journalistes sans lesquels il n’y a, par définition, pas de revue de presse possible, il y a toujours un côté esprit d’équipe, ici. Il y a des gens qui me donnent des coups de main, il y a des gens avec qui, en discutant, je trouve des angles, des idées, des blagounettes, il y a des fans de la première heure avec qui nous avons tissé un lien certain, et il y a bien sûr mes lutins de jardin, mais c’est une autre histoire. Voilà pourquoi, j’ai le “nous” ou le “on” facile.
En plus, mon nom ne vous dirait rien : je ne suis vraiment pas quelqu’un de connu, certainement pour les raisons évoquées plus haut. Une petite soldate du web. Un de ces quatre, il faudra bien que je regroupe mes autres textes pour mes archives personnelles mais pour l’instant, il y a plus urgent : la prochaine édition d’Un Jour En Plus. J’ai déjà deux-trois trucs assez dingues sous le coude, sur lesquels je rêve de me pencher plus attentivement (une posture difficile, certes, mais quand on veut, on peut).
Essayons donc !
Et si, pour changer, j’osais l’impératif ? Essayons et jetez donc un œil à ma revue de presse, vous m’en direz des nouvelles ! (Alors que moi je vous en dirai, des nouvelles : de l’importance de la virgule entre les mots).
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